Comment identifier des ressources potentielles comme communs

Présentation de l’atelier

L’expérience enseigne que chaque commun est intimement lié à sa communauté et que toute ressource ne peut être de facto un commun. Ainsi, sa nature et sa forme seront influencées par de nombreux facteurs externes tels que l’histoire, le marché ou encore les ressources préexistantes.

L’objectif de cet atelier est de présenter différentes méthodes d’identification des communs, à partir desquelles les participant.e.s vont coconstruire une méthodologie commune d’identification des communs.

Le pad retranscrivant l’atelier est à retrouver ici

Mini-Livrable

Vous pouvez retrouver une version éditable du livrable issu de cet atelier ici.
Vos contributions y sont évidemment bienvenues, que vous les apportiez directement au document ou que vous nous les adressiez en réponse à ce topic.

J’ai commencé à m’intéresser au sujet et j’ai trouvé des ressources qui pourraient être intéressantes :
http://www.knowtex.com/blog/biens-communs-20-definitions/

Bonne lecture !

Notes Boris Séguy sur les évolutions techniques vers un web distribué :
Jusqu’à aujourd’hui il n’existait pas les ressources techniques permettant de faire des communs distribué. De ce fait toute volonté de créer un commun était in fine une volonté de centralisation technique avec un fonctionnement en Silo.

Dans une structure propriétaire (SAS) un petit nombre de personne décide et donc la fusion peut se faire. La dynamique structurellle vers une centralisation n’est pas un frein du fait du panchant naturel à la constitution de monopoles. Dans une structure a gouvernance partagée (Coopérative) la décision démocratique abouti souvant à des tensions informelles se manifestant par des discussions sur les virgules. La centralisation structurelle abouti souvent à un schisme voire une exploision.

Aujourd’hui grâce aux API, REST en l’occurence, et aux normes qui commencent à passer de la preuve de concept W3C à la production (Solid Project, Web Componant, etc) un nouveau web distribué peut être possible et donc des organisations à gouvernance partagée peuvent créer des communs numériques tout en régulant les tensions entre organisation. La technologie n’étant plus constitutive de l’identité de l’organisation, ce sont les données qui cristalisent l’identité et certaines de ces données peuvent être partagée dans le cadre de partenariat (avec simplement un accès API)